La crise, on s'en fout !
But du jeu :
Gagner le maximum d’argent en vendant des objets représentés
sur des cartes
"
La crise, on s'en fout ! " est un jeu d'ambiance dans lequel
on brasse beaucoup d'argent.
On s'offre tout ce que l'on veut sans
regarder à la dépense.
Dans cet élan frénétique, certains se retrouvent sans un sou.
Saurez-vous
gérer correctement votre budget pour ne pas en arriver là ?
Durée d'une partie : de 10 à 30 minutes
selon le nombre d'objets mis en vente.
Pour tous publics de plus de 6 ans.
De 2 à 7 joueurs.
Succès garanti !
- La règle du jeu
- 110 cartes :
a) 86 cartes «Argent» comprenant :
- 33 billets de 50€
- 27 de 100€
- 18 de 200€
- 8 de 500€
b) 24 cartes «Objet»
Depuis l'édition du jeu, j'ai mis au point une variante qui rencontre encore plus de succès que la version d'origine. Ci-dessous, cette variante est détaillée en intégralité :
Toutes les cartes " argent "
sont distribuées aux joueurs de façon à ce qu’ils
aient tous la même somme. Elles sont tenues en mains, faces cachées.
Chaque joueur choisit une ou plusieurs cartes " objet" qu’il
dépose près de lui sur ta table. On désigne celui
qui est le premier vendeur. Il pose une carte " objet " sur
la table, face visible et prononce à haute voix ce qu’il
vend ; exemple : - " je vends
un écran plat à 500€ ".
Chacun va payer en déposant, de une à trois cartes, faces
cachées, en prenant soin de ne pas les mélanger avec celles
des autres joueurs.
Le vendeur doit estimer le paiement de chaque joueur en disant s’ils
ont payé :
- moins que le prix
ou
- le prix ou plus
S’il estime bien le paiement, il gagne l’argent mais
s’il se trompe, le client récupère son argent
et le vendeur lui donne la même somme.
Précisions : pour cette vente à 500€, un client
paye 300€ ; le vendeur pense que le client a payé le
prix ou plus. Etant donné qu’il s’est trompé,
Il donne 300€ au client.
A chaque fois qu’un joueur gagne de l’argent, il mélange
les billets avec ceux qu’il possède déjà.
Ensuite, le joueur qui est sur sa gauche vend un objet de la même
façon.
On joue ainsi jusqu'à ce que tous les objets soient vendus.
Le gagnant est celui qui aura le plus d’argent à la
fin de la partie.
Pour une partie à deux joueurs, on distribue les cartes argent de façon à en faire trois paquets ; chaque joueur en choisit un ; le troisième paquet est un paquet neutre qui ne sera pas utilisé
On peut appliquer, simultanément ou séparement, les trois options décrites ci-dessous :
Le Bonus
Au cours d’une vente, si un vendeur estime, avec succès,
le paiement de tous les clients, cela lui permet de bénéficier
du bonus qui consiste à ce que chaque client mélange
ses billets sans les regarder et en pose un, sur la table, face cachée.
Le vendeur choisit un de ses billets. Son intérêt est
de choisir celui qui rapporte le plus d’argent. Les autres
joueurs récupèrent leur billet.
Cette option peut pas être
mise en pratique à condition que le nombre de joueurs soit
supérieur à deux.
Le Malus
Au cours d’une vente, si un vendeur estime mal le paiement de tous les
clients, il devra donner une carte, au hasard, à chaque joueur. Cette
option peut pas être mise en pratique à condition que le nombre
de joueurs soit supérieur à deux.
Le Prix Juste
Le vendeur doit deviner le montant précis
payé par le client. Exemple : Il vend une paire de chaussures à
100€ et estime le paiement du premier client en pensant qu’il
a payé le prix ou plus. Ce dernier a payé l’objet
avec un seul billet. Le vendeur dit à haute voix ce qu’il
pense que le client à payé :
- « le prix ou plus soit 200€ ». Si le client a
vraiment payé plus que le prix, le vendeur gagne cet argent
et s’il s’agit bien d’un billet de 200€, le
client doit donner un autre billet de 200€ au vendeur. Par contre,
si le client a payé moins que 100€, il récupère
son argent et le vendeur lui donne un billet de 50€. Le vendeur
devra procéder de la même façon avec les autres
clients qui ont payé la paire de chaussures et tous les autres
objets qu’il vendra par la suite.